Ανάρτησή μου στο γιουτιούμπ
ΤΡΑΓΟΥΔΑ Η JEANNE MOREAU
LE TOURBILLON
Elle avait des
bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage
De femme fatale qui m'fut fatale
De femme fatale qui m'fut fatale
On s'est connu, on s'est reconnu,
On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu d'vue
On s'est retrouvé, on s'est réchauffé,
Puis on s'est séparé.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, aïe, aïe, aïe,
Ça fait déjà un fameux bail
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.
Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
Des baisers sur mon front brûlant
On s'est connu, on s'est reconnu.
On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu de vue
On s'est retrouvé, on s'est séparé.
Dans le tourbillon de la vie.
On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffé.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah ! là là
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s'est connu,
Quand on s'est reconnu,
Pourquoi s’perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvé,
Quand on s'est réchauffé,
Pourquoi se séparer ?
Et tous deux on est reparti
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage
De femme fatale qui m'fut fatale
De femme fatale qui m'fut fatale
On s'est connu, on s'est reconnu,
On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu d'vue
On s'est retrouvé, on s'est réchauffé,
Puis on s'est séparé.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, aïe, aïe, aïe,
Ça fait déjà un fameux bail
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.
Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
Des baisers sur mon front brûlant
On s'est connu, on s'est reconnu.
On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu de vue
On s'est retrouvé, on s'est séparé.
Dans le tourbillon de la vie.
On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffé.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah ! là là
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s'est connu,
Quand on s'est reconnu,
Pourquoi s’perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvé,
Quand on s'est réchauffé,
Pourquoi se séparer ?
Et tous deux on est reparti
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Δεν υπάρχουν σχόλια:
Δημοσίευση σχολίου